Le low-tech, c’est aussi collectif

Les technologies douces, ou low-tech, séduisent de plus en plus d’entreprises, d’associations et même de collectivités. Crédit : Julien Lemaistre

 

Des objets, des techniques, des services, des savoir- faire, des modes de vie à la fois utiles, accessibles à tous et durables, voici comment peut se définir le low-tech…

Confidentielle il y a une dizaine d’années, cette démarche séduit de plus en plus de personnes, des associations, des entreprises et des territoires. C’est pour alimenter leurs réflexions que le Low-tech Lab a mis en ligne le résultat de deux années d’observation d’organisations pionnières dans ce domaine en France, Belgique et Hongrie.

Des données et des fiches pratiques révèlent ainsi les démarches d’une conserverie alimentaire dans le Finistère, d’un atelier d’autoréparation de vélos à Budapest ou encore d’une expérimentation de la décroissance en Hongrie.

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